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Un conte de fait (sic)

Il était une fois trois petits pays dans lesquels s’était imposée la laïcité chère à nos cœurs d’Européens. Tout autour d’eux se trouvaient d'autres pays, tous musulmans, certains plus radicaux que d’autres, mais où primait la Loi islamique. Normalement les gouvernements occidentaux laïques et démocratiques auraient dû faire alliance avec les trois pays cités plus haut. Eh bien ce fut le contraire qui se produisit. Les républicains occidentaux appuyèrent les royautés moyenâgeuses et les tenants de la laïcité chatouillèrent les couilles des imams rétrogrades.

Le premier, un certain Bush, sans grande intelligence et d’un CUI avoisinant le zéro, décida donc d’anéantir le premier de ces États laïques, qui s’appelait alors IRAK (aujourd’hui il s’appelle Merdier numéro 1). Par un beau mensonge, prouvé et vérifié, mais jamais puni, il réussit à détruire ce pays et à le mettre dans les mains des Intégristes aussi virulents que religieux.

Voyant cela, un autre petit bonhomme, appelé Sarkozy, appuyé par un grand philosophe, se dit qu’il pourrait peut-être s’essayer à ce jeu de massacre qui semblait si divertissant. Et il envoya son aviation détruire la Libye. Il fit tuer l’ancien chef d’état laïque et serra les mains des terroristes adeptes de la charia, leur offrant le siège du pouvoir vacant. On débaptisa le pays qui devint Merdier numéro 2.

Un troisième trou du cul, appelé François Hollande, enrageait dans son palais. Il n’y avait plus de gloire à récolter. Les autres lui avaient tout pris. Comme il était très mauvais orateur, chef d’état sans envergure, avec tout juste les capacités intellectuelles d’un sous-chef de bureau de sous-préfecture (j’insulte là les sous-chefs de bureau de sous-préfectures qui sont certainement au-dessus de ce triste personnage, et je m’en excuse) ; donc le petit bonhomme voulut avoir lui aussi sa part de gloire. Un certain Fabius, roublard et sournois, lui fit alors remarquer qu’il restait encore un pays à détruire. La Syrie ! Bonne aubaine. Son avenir historique était assuré.

Les chers alliés ricains, firent alors intervenir leurs fameux services de renseignement (fameux pour les fiascos à répétition). Et le résultat arriva illico. « Le chef de ce gouvernement, la Syrie, assassinait son peuple avec des armes chimiques ! » (on s’était déjà servi de ce truc quelques années avant mais la connerie humaine étant incommensurable, on ne risquait rien d’essayer. Et ça marcha !). Certains pourtant demandèrent des preuves. Des preuves ? Pourquoi faire ? Pourquoi ne pas croire la CIA sur parole ? Alors le petit trou du cul français commença la destruction de ce pays qui jusqu’alors ne demandait rien à personne et ne menaçait personne (il n’était pas copain-copain avec Israel – mais ne cherchez pas là-dedans une relation de cause à effet). Voilà donc le pays ruiné, les intégristes encore plus forts, et les migrants sur les routes.

Ainsi se termine ce conte de fait (sic). Les barbus se marièrent, et ils eurent beaucoup d’enfants. La preuve c'est que plus on les bombarde, plus on les tue, et plus ils prolifèrent.

 
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